26/06/2007

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Lettre 25 mai 1962, n° 100
Cf. L'itinéraire juridique de l'Opus Dei, p. 435-436

Chaque fois que je réfléchis à ma petitesse et au développement prodigieux de l’Œuvre dans le monde, j’en arrive toujours à la conclusion suivante, qui m’aide tant à me reposer en Dieu : un homme seul, moi moins encore, ne peut faire cela ; digitus Dei est hic (Ex 8,19), le doigt de Dieu est ici très clair.
Mes enfants, en ce moment crucial de la fondation de l’Œuvre, en présence de notre façon raisonnable d’agir pour sauver la nature spécifique de notre vocation, le Seigneur nous remplit de nouveau l’âme de paix et de certitude ; il nous rappelle ― fui tecum in omnibus ubicumque ambulasti (2 Reg 7,9) ― qu’il a toujours été à nos côtés, depuis le premier jour, même au milieu des tempêtes les plus terribles.

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