15/02/2007

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Entretiens, n° 106

Oui, elles [les femmes qui restent célibataires] aiment les enfants ; elles sentent qu’elles auraient été bonnes mères ; qu’elles auraient donné fidèlement leur cœur à un mari et à leurs enfants. Mais cela est normal chez toutes les femmes, y compris celles qui, par vocation divine, ne se marient pas ― alors qu’elles auraient pu le faire ― pour s’occuper du service de Dieu et des âmes.
(...) Au surplus, la femme peut accomplir sa mission ― en tant que femme selon toutes les caractéristiques féminines, y compris les caractéristiques affectives de la maternité ― dans des milieux différents de sa propre famille : dans d’autres familles, à l’école, dans des œuvres d’assistance, dans mille endroits.

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